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Moins de recrutements en CDI

Moins de recrutements en CDI : le portage salarial comme alternative

Le Portage Salarial comme alternative : Si 50 % des embauches s’effectuaient en CDI il y a une trentaine d’années, force est de constater que le marché du travail a considérablement évolué. En effet, moins de 5% des recrutements s’effectuent désormais en CDI, les CDD et les contrats d’intérim représentant la majorité des contrats de travail. Alors que les emplois précaires constituaient auparavant un tremplin vers des emplois plus stables, ils ne permettent aujourd’hui plus de décrocher des contrats durables, ce qui oblige les salariés concernés à se contenter de jobs temporaires.

Certaines catégories de la population active sont par ailleurs beaucoup plus touchées que d’autres, ce qui explique en partie les difficultés rencontrées par les jeunes et les seniors en termes d’insertion. Pour remédier à cette précarité professionnelle, il est possible d’opter pour de nouvelles formes de travail dont le dynamisme et la flexibilité permettent de concilier autonomie & revenus. Parmi celles-ci, on retrouve le portage salarial, une forme d’emploi novatrice et particulièrement intéressante.

Un marché du travail en pleine évolution

En 1982, la moitié des recrutements s’effectuait en CDI. Aujourd’hui, la tendance est sensiblement différente puisque les CDD, les contrats d’intérim et les contrats de stage sont nettement majoritaires. Cette situation peut s’expliquer par le fait que les salariés en CDI souhaitent de moins en moins quitter leur emploi, de peur de ne pouvoir retrouver les mêmes conditions ailleurs. D’un autre côté, face à une conjoncture économique incertaine et un marché du travail peu dynamique, les employeurs sont désormais beaucoup plus réticents à embaucher en CDI, préférant privilégier les recrutements temporaires.

Malheureusement, une fois en CDD, les salariés peinent à décrocher des postes stables et doivent alors enchaîner les emplois précaires, faute de mieux. Le nouvel enjeu pour ces derniers est donc de pouvoir trouver des alternatives professionnelles adaptées aux besoins d’un marché du travail en pleine évolution. Si le statut d’indépendant est de moins en moins plébiscité à cause du RSI et de la difficulté à concilier travail & gestion administrative, le portage salarial attire quant à lui de plus en plus de professionnels autonomes. Apparu au milieu des années 80, ce dispositif permet en effet de travailler de manière totalement autonome tout en bénéficiant de la couverture sociale du salariat.

Choisir le portage salarial pour lutter contre la précarité professionnelle

Mieux encadré depuis la nouvelle ordonnance émise par le gouvernement en avril 2015, le portage salarial est une forme de travail novatrice qui permet d’exercer son activité en toute autonomie et en toute sécurité. Grâce à ce dispositif, les professionnels autonomes peuvent réaliser différentes missions à leur rythme, sans être soumis à des horaires contraignants. Ces derniers sont par ailleurs libres de négocier leur rémunération et de fixer les conditions d’exécution de leurs prestations, la société de portage n’intervenant nullement lors de la phase de négociation avec le client.

Le professionnel « porté » peut également travailler sans avoir à créer sa propre entreprise et il peut se consacrer uniquement à son métier dans la mesure où la société de portage se charge de la gestion administrative, comptable et juridique de l’activité. Cet avantage non négligeable lui permet donc non seulement de bénéficier de plus de temps pour chercher de nouveaux clients ou fidéliser une clientèle déjà existante mais aussi de profiter de son temps libre pour ses besoins personnels.

Défini par la loi comme un « ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes, comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l’entreprise de portage », le portage salarial permet par ailleurs au « porté » de percevoir un salaire et de bénéficier d’une protection sociale (chômage, retraite, indemnités maladie, etc.). Sous bien des aspects, ce dispositif est donc idéal pour lutter contre la précarité professionnelle tout en conjuguant liberté et avantages sociaux.

Portage salarial, parcours professionnels individuels et protection sociale : quels enjeux ?

A mi-chemin entre le travail en indépendant et le salariat, le portage salarial est une forme d’emploi innovante & sécurisante qui permet à des professionnels autonomes d’exercer leur activité en toute liberté sans être privés de la protection sociale des salariés. Les experts « portés » peuvent donc gérer leur emploi du temps et leur clientèle comme bon leur semble tout en étant protégés s’ils tombent malades ou s’ils se retrouvent au chômage par exemple. Néanmoins, les avantages sociaux ne sont pas toujours les mêmes pour l’ensemble des travailleurs indépendants qui, en règle générale, ne bénéficient pas d’une protection sociale équivalente à celle des salariés.

Depuis le 1er janvier 2016, les employeurs doivent quant à eux mettre en place un dispositif au moins égal à la couverture minimale obligatoire avec un financement patronal au moins égal à 50% pour les salariés ne bénéficiant pas d’une couverture de santé complémentaire. Avec l’émergence des parcours professionnels individuels (salariés « portés », auto-entrepreneurs, micro-entrepreneurs, indépendants, slasheurs, etc.), il s’agit donc de faire face à un nouvel enjeu : comment adapter la protection sociale à l’individualisation grandissante des parcours professionnels ?

Quelle protection sociale pour les indépendants ?

Grands oubliés des reformes instaurées par la loi Travail, les indépendants souffrent de plus en plus de ne pas bénéficier d’une protection sociale appropriée à leurs besoins. Certes, pendant de nombreuses années, ces derniers n’avaient pas souhaité payer des cotisations élevées pour des droits sociaux dont ils estimaient pouvoir se passer. Grâce à un niveau de revenus intéressant et une faible exposition au chômage, ils pouvaient en effet se débrouiller sans avoir à cotiser de manière conséquente. Mais au cours des dix dernières années, la situation a drastiquement évolué et les indépendants ont désormais besoin d’une protection sociale similaire à celle des salariés.

Malheureusement, le texte de loi de Myriam El Khomri, ministre du Travail, n’a pas prévu de grandes réformes pour ces travailleurs, sauf peut-être une contribution des plateformes à la formation professionnelle de leurs travailleurs ainsi qu’une assurance les protégeant en cas d’accidents du travail. Pire encore, le RSI et ses nombreux dysfonctionnements restent pour les indépendants une épée de Damoclès dont ils se passeraient volontiers. Aujourd’hui, la complémentaire santé demeure à leur charge alors que l’assurance chômage ne leur est toujours pas ouverte. Le mode de calcul des retraites ne leur permet quant à lui guère d’aspirer à des pensions mirobolantes en fin de parcours professionnels, ce qui, bien évidemment, est loin de se révéler encourageant.

Mieux protéger les travailleurs indépendants

Face à une problématique de plus en plus pesante, le gouvernement doit donc se décider à faire évoluer la protection sociale des travailleurs optant pour des parcours professionnels individuels. Ainsi, même si la distinction « salariés/indépendants » demeurerait inchangée, les clivages sociaux seraient quant à eux réduits, voire abolis. Plusieurs pistes sont envisagées, parmi lesquelles l’ouverture à l’assurance chômage et la création de nouveaux statuts donnant droit à une protection sociale spécifique.

Pourtant, la protection sociale des indépendants est une problématique qu’il s’agit de résoudre au plus vite. Portés par de nombreuses lames de fonds (innovation numérique, nouvelles technologies, ubérisation, économie du partage, …), les français sont désormais à la recherche de flexibilité et de liberté, loin des modèles sociaux classiques et des modèles 100% salariaux. En 2015, l’INSEE recensait près de 2 millions d’indépendants dans le seul secteur des services. D’ici 2020, on estime par ailleurs que 30% des travailleurs seront indépendants. Il est donc plus qu’urgent pour le gouvernement de revoir le cadre actuel et de répondre aux nouveaux enjeux afin d’accompagner les français dans leur recherche d’indépendance.

Les avantages sociaux du portage salarial

Aujourd’hui, seul le portage salarial apparaît comme une alternative capable de répondre à ces différentes problématiques. En effet, ce dispositif dynamique et sécurisant permet de travailler de manière autonome tout en bénéficiant de la protection sociale du salariat :

  • Retraite
  • Prévoyance
  • Santé
  • Chômage
  • Etc..

A défaut de réformes rapidement adoptées, les professionnels autonomes en quête de flexibilité et d’avantages sociaux peuvent donc opter sans hésitation pour cette forme d’emploi grâce à laquelle ils pourront exercer leur activité en toute sécurité, sans aucun risque.

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